11 juin 2005, Eve a bouclé sa valise, mis le répondeur en marche, coupé les conteurs, elle est prête, grande, brune, ses yeux bleus, juste souligné d’un trait d’eyeliner invitent aux voyages, sa bouche rose est pulpeuse, elle est vêtue d’un tailleur rose nacré qui souligne ses formes parfaites, de jolis escarpins noirs en cuir vernis à talons aiguilles habillent ses pieds fins, une pochette noire sous le bras avec a l’intérieur son billet, Eve part en croisière sur le Nil, un an qu’elle a économisé pour s’offrir ce voyage, infirmière de métier en hôpital psychiatrique elle attendait cette date avec impatience. Le taxi est en bas les rues sont vides.., l’aventure va pouvoir commencer…

Le paquebot est à quai, majestueux, impressionnant, la rampe d’accès est libre Eve monte, un sourire radieux aux lèvres, l’équipage de pont a remarqué la jeune femme qui monte avec grâce, tout le navire est au courant qu’une belle femme est montée seule a bord. Une fois installée Eve fait prend connaissance des lieux, les hommes se retournent sur son passage, son parfum envoûtant flotte dans l’air et ouvre l’imagination de certains qui n’arrivent pas a détaché leurs yeux de sa démarche ondulante.

Eve est bien décidée à ’amuser durant ses 10 jours de croisière, le navire se met en mouvement, Eve change son tailleur contre un maillot de bain qui ne laisse pas de doute sur la beauté de son corps, sa peau dorée est une invitation aux caresses, d’ailleurs le capitaine ne s’y est pas trompé, il rejoint Eve qui est allongée sur un transat son pagne poser négligemment sur le sol. -Melle votre pagne a du glisser, permettez-moi de me présenter, Arnaud Massel, capitaine de bord pour vous servir.

Eve se redresse, regarde son interlocuteur un bel homme athlétique, brun les tempes grisonnantes, son regard verts caresse la jeune femme. -Je vous remercie, je me nomme Eve, Eve Damoni. -je suis enchanté et ravie de compter une aussi belle femme dans mas passagers, me feriez vous l’honneur de dîner a ma table ce soir ? .

• j’en serai heureuse, mais capitaine Massel dois-porter une tenue particulière ? , C’est ma première croisière et je n’en connais pas les usages. -je vous en prie appeler moi Arnaud, et quelle que soit la tenue que vous porterez, je suis certain que se sera parafait, je vous attends donc ce soir a mon côté Mademoiselle.

Eve regarde le capitaine partir, il a un corps qui ne laisse pas indifférente Eve, sa veste laisse supposer des épaules larges, son pantalon enveloppe de façon appétissante ses fesses fermes. Eve à choisit une robe fourreau rouge, des chaussures haute à lanières noires, un ras de cou incrusté de perles noires et un bracelet assortis un Léger maquillage termine sa tenue, un dernier regard dans le miroir lui confirme que sa beauté. Arnaud est déjà arrivé, d’une élégance rare dans son uniforme, son impatience se lit sur son visage, enfin elle apparaît les visages se tournent vers elle avec envies, elle rejoint Arnaud.

• Vous êtes magnifique mademoiselle.

Eve le remercie en lui souriant, son regard ne laisse pas de doute qu’en a l’attirance qu’elle ressent pour lui. Le dîner se passe dans une ambiance agréable, les plats sont raffinés les vins veloutés, l’orchestre joue une valse, des danseurs ne tardent pas à rejoindre la piste, Arnaud invite Eve qui accepte avec joie, une salsa suit la valse, Eve roule des hanches contre le bassin d’Arnaud, la musique les transporte, à la fin de la danse Arnaud invite Eve à aller boire une coupe de champagne dans sa cabine, mais Eve préfère la sienne.

• comme la nuit est chaude vous ne trouvez pas chère Eve ? -je la trouve brûlante, Arnaud.

Arrivés dans la cabine Arnaud déshabille Eve avec lenteur, chacun de ses mouvements est une caresse sur la peau de Eve qui frémie de plaisir, Eve déboutonne la veste d’Arnaud, puis sa chemise sa bouche vient effleurer son cou elle descend vers son torse, sa langue sillonne le contour de sa poitrine, elle défait son pantalon, Arnaud a le sexe gonflé de plaisir et d’envie, Arnaud, fouille de sa langue chaque parcelle du corps d’Eve, qui se cambre de plaisirs.

• attends, je reviens de suite dit Eve, allonges toi sur le lit et ferme les yeux.
• reviens vite ! ! !.

Eve va dans sa salle de bain et de son sac sort quelques accessoires. Elle revient vers le lit chaussée de cuissardes noires, noue un foulard de soie autour des yeux d’Arnaud, le chevauche pour lui attacher les mains aux barreaux du lit.

• j’ai envie de vous.

• chut ! ! !

Eve sort son chat a neufs queues et commence à flageller Arnaud, doucement sur tous le corps, elle fait glisser les lanières sur son torse, sur son sexe qui se redresse sous les caresses du cuir, ses talons claquent sur le planché de la cabine, Arnaud connaît bien ses talons là il les adore, les vénères, il attend fébrilement le moment ou sa Maîtresse viendra les frotter contre son visage, planter la pointe de son talon sur ses tétons, son sexe, ses cuisses tout son corps est au supplice de l’attente, et du désir

Eve fait courir ses ongles sur les contours de sa bouche, s’introduit en elle, descend sur ses tétons durcit, Eve joue avec en les pinçant du bout des ongles, puis les coince sous les ongles avec une pression, ils se dirigent maintenant vers la verge gonflée d’Arnaud, qu’elle caresse du bout de ses ongles acérés, elle pince le bout du gland d’Arnaud qui se tord, de douleur et de plaisir, le même sort est réservé à ses bourse, Arnaud est au supplice. Eve lui détache les mains.

• viens ici, mets tes mains sur le montant du lit, écarte les jambes, et je ne veux rien entendre.

Arnaud s’exécute sans un mot, les mains de Eve parcourent son corps avec lenteur et précision, les mains de Eve claquent sur les fesses d’Arnaud, qui ne tardent pas à rosir, le chat à neufs queues redouble de coups.

• je vous en prie Maîtresse, je n’en peu plus.
• quand je te dis de te taire tu te tais !

Eve rajoute un bâillon boule a Arnaud, l’assoie sur le lit, lui attache les mains dans le dos avec les menottes et frotte ses cuissardes contres son sexe, qui ne manque pas de réagir, elle lui susurre des mots aux creux de l’oreille.

• oui Maîtresse, je vous appartiens, je suis a vous, faites de moi ce qui vous plaira, ordonnez je vous obéirai.

Eve continue a frotté ses cuissardes contre Arnaud qui ne se retient plus et se rependre sur le cuir, une gifle accueil sa semence.

• tu sais ce qu’il te reste à faire maintenant, elle lui ôte le bandeau des yeux et Arnaud s’agenouille pour laver avec sa langue le cuir souillé.

La première journée sur le paquebot est finie, il reste encore 9 jours de plaisirs en mer.

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